Commebeaucoup dans la commune de Jouy-le-Potier. OĂč un chien sĂšme la terreur parmi les chats du village. Depuis six, sept ans, un chien aurait agressĂ© une cinquantaine de chats dont trente
IlĂ©tait une foisUn chat passionnĂ© de contes de fĂ©es, un chien qui posait beaucoup de questions, et une histoire classique, Le Petit Chaperon rouge, revisitĂ©e de façon farfelue.Le chat, le chien, le superhĂ©ros est le livre idĂ©al pour faire redĂ©couvrir aux enfants lâhistoire du Petit Chaperon rouge sous un nouvel angle, plus moderne et humoristique.Tandis que
LeGrand Méchant Loup. Le Grand Méchant Loup est un court métrage d' animation américain de la série des Silly Symphonies produite par les studios Disney et sorti le 14 avril 1934. Il fait suite au film Les Trois Petits Cochons (1933) basé sur le conte folklorique homonyme et du Petit Chaperon rouge (1697) de Charles Perrault .
LELOUP ET LE CHIEN. Un loup nâavait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce loup rencontre un dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui sâĂ©tait fourvoyĂ© par mĂ©garde.
Laction est racontĂ©e des v. 8 Ă 32 : elle est marquĂ©e par la conversation entre le loup et le chien, qui lui explique comment ĂȘtre bien nourri en se faisant domestiquer. Le loup se laisse sĂ©duire. LâĂ©lĂ©ment de rĂ©solution a lieu entre les v. 33 et IO : le loup remarque le cou DĂ©solĂ©, mais les essais complets ne sont disponibles que pour les utilisateurs
Lechien-loup tchécoslovaque est une race de berger de taille moyenne. Les chiens de cette race. Explorer. animaux et animaux de compagnie; blog; Derniers Articles. Le chat gris: un animal fascinant et mystérieux. 2 août 2022 . Les chats les plus drÎles du monde ! 2 août 2022. Le chat européen est un chat domestique trÚs populaire en
CHIEN CHAT, et LOUP, n.m. I. Le loup 1) Le LOUP est un animal sauvage et carnivore qui a longtemps rĂ©gnĂ© en maĂźtre redoutĂ© sur les forĂȘts europĂ©ennes. Il y a mĂȘme eu des loups Ă Paris comme en tĂ©moigne le nom du Louvre. Ils ont pratiquement disparu de lâEurope occidentale, mais il en subsiste dans certaines rĂ©gions froides, dâoĂč il fait un
Aà bon chat bon rat (Dorvigny) Seul survit le chassé au moins aussi habile que son chasseur. Abreuvoir à mouches (argot). Plaie béante, estafilade. à dix/cent/mille lieues à la ronde TrÚs loin : dans un rayon de 10 (ou 100, 1000). lieues. Les lieues étaient une unité de distance de l'Ancien Régime, d'environ 4 km. à la louche Approximativement,
UneĂ©tude sâest attachĂ©e Ă connaĂźtre quelles Ă©taient les espĂšces les plus reprĂ©sentĂ©es dans les romans, contes, albums, etc. Chiens et chats arrivent en seconde position. A lâoccasion de lâouverture
UnLoup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers ; Mais il fallait livrer bataille, Et le Mùtin était de taille A se défendre hardiment.
hzi7. En 2013 paraissait dans la revue Nature, une Ă©tude sur lâĂ©volution du chien Ă travers sa domestication et sa capacitĂ© Ă digĂ©rer lâamidon grĂące Ă un gĂšne, le fameux AMY2B. Depuis, cet article est repris rĂ©guliĂšrement sur les rĂ©seaux sociaux ainsi que dans de nombreux magazines français comme Sciences et avenir, le Figaro, mais aussi sur le trĂšs sĂ©rieux site du CNRS. Cette Ă©tude Ă©tant destinĂ©e Ă des lecteurs scientifiques et nâayant pas la prĂ©tention de savoir dĂ©chiffrer le jargon spĂ©cifique de la gĂ©nĂ©tique, jâai fait certainement comme beaucoup dâautres lecteurs, je me suis contentĂ©e du rĂ©sumĂ©, notamment la conclusion. Nos rĂ©sultats indiquent que de nouvelles adaptations permettant aux premiers ancĂȘtres des chiens modernes de se nourrir dâune alimentation riche en amidon, par rapport Ă lâalimentation carnivore des loups, ont constituĂ© une Ă©tape cruciale dans la domestication prĂ©coce des chiens. Jâai voulu comprendre le cheminement qui avait amenĂ© Ă cette conclusion et ce faisant jâai trouvĂ© lâarticle providentiel dâun vĂ©tĂ©rinaire, le Dr Doug Knueven, qui a repris lâĂ©tude en la dĂ©cryptant dans des termes simplifiĂ©s et plus accessibles. Voici la traduction de son article Ce que les chercheurs ont trouvĂ© Les chercheurs ont comparĂ© lâADN de 12 loups du monde entier Ă celui de 60 chiens de 14 races diffĂ©rentes. Ils ont trouvĂ© des gĂšnes diffĂ©rents entre les deux groupes et prĂ©sentant des caractĂ©ristiques indiquant une adaptation Ă de nouvelles conjonctures. Certaines des mutations concernaient des gĂšnes impliquĂ©s dans le dĂ©veloppement du cerveau, ce que les chercheurs ont interprĂ©tĂ© comme se rapportant aux tempĂ©raments moins agressifs des chiens par rapport aux loups. Mais lâobjet de lâĂ©tude portait sur dâautres modifications gĂ©nĂ©tiques impliquant le systĂšme digestif. Les chercheurs ont dâabord Ă©tabli que la digestion de lâamidon nĂ©cessite trois Ă©tapes. 1 la premiĂšre Ă©tape de la dĂ©gradation de lâamidon nĂ©cessite lâenzyme digestive amylase. 2 la deuxiĂšme Ă©tape nĂ©cessite une enzyme appelĂ©e maltase-glucoamylase. 3 la troisiĂšme Ă©tape du traitement de lâamidon nĂ©cessite une protĂ©ine appelĂ©e SGLT1 pour transporter le glucose depuis lâintestin dans la circulation sanguine. Les scientifiques ont ensuite montrĂ© Ă leur satisfaction que les chiens avaient Ă©voluĂ© loin des loups au cours de ces trois Ă©tapes. En ce qui concerne lâĂ©tape 1 Les chercheurs ont dâabord dĂ©couvert que les chiens possĂ©daient entre 4 et 30 copies dâun gĂšne codant pour lâamylase, alors que les loups nâavaient que 2 copies. Cela leur a indiquĂ© que les chiens ont une plus grande capacitĂ© dâeffectuer la premiĂšre Ă©tape de la digestion de lâamidon. Je conviens quâil est significatif que les chiens possĂšdent entre 4 et 30 copies du gĂšne de lâamylase, et cette large plage indiquerait que certains chiens sont beaucoup moins capables de gĂ©rer lâamidon que dâautres. Ensuite, ils ont comparĂ© lâexpression de ce gĂšne chez le chien par rapport au loup et ont constatĂ© une augmentation moyenne de 28 fois chez le chien. Ils ont Ă©galement testĂ© lâactivitĂ© enzymatique dans le sang et ont constatĂ© une augmentation de plus de quatre fois chez les chiens par opposition aux loups. Mais un expert Ă qui jâai parlĂ© a dĂ©clarĂ© quâune expression gĂ©nique accrue ne signifie pas nĂ©cessairement une production accrue dâenzymes. Jâajouterais Ă©galement que lâexpression dâun tel gĂšne ainsi que lâactivitĂ© enzymatique dĂ©pendraient du rĂ©gime alimentaire donnĂ©. Un rĂ©gime riche en amidon la plupart des aliments pour chiens standards activerait les gĂšnes nĂ©cessaires, par opposition Ă un rĂ©gime faible en glucides et semblable Ă celui des loups. Ainsi, la premiĂšre partie du travail ci-dessus indique que les chiens ont plus de gĂšnes pour la premiĂšre enzyme nĂ©cessaire Ă la digestion de lâamidon, mais la deuxiĂšme partie ne prouve rien. Ătape 2 Les chercheurs sont maintenant passĂ©s Ă lâĂ©tape 2. Ils nâont pas trouvĂ© un nombre plus Ă©levĂ© de gĂšnes codant la maltase-glucoamylase chez le chien par rapport au loup. Cependant, ils ont pu dĂ©terminer quâil existait des diffĂ©rences significatives dans le gĂšne responsable de cette enzyme entre les chiens et les loups. Ils ont comparĂ© les mutations canines et ont constatĂ© que, lorsque ces mĂȘmes mutations se produisaient chez dâautres mammifĂšres, cela indiquait souvent une tendance Ă lâomnivorisme de lâanimal. Ils ont Ă©mis lâhypothĂšse que les mutations gĂ©niques signifient que chez le chien, lâenzyme est plus efficace dans son travail de digestion de lâamidon. Pour vĂ©rifier leur hypothĂšse, les chercheurs ont mesurĂ© la quantitĂ© de maltase-glucoamylase dans le pancrĂ©as et dans le sang des chiens par rapport aux loups. Ils ont trouvĂ© des niveaux plus Ă©levĂ©s chez les chiens. Ils admettent que la diffĂ©rence de taux dâenzymes pourrait ĂȘtre due au rĂ©gime alimentaire et encore une fois, plus il y a de glucides dans le rĂ©gime, plus le taux dâenzymes est Ă©levĂ©. Les loups mangeant un rĂ©gime pauvre glucides par rapport Ă la plupart des chiens, les chercheurs nâont en rĂ©alitĂ© rien prouvĂ© de maniĂšre concluante sur lâĂ©tape 2 de la digestion de lâamidon, Ă ce que je vois. Ătape 3 Pour la troisiĂšme Ă©tape de la digestion de lâamidon, les chercheurs se sont concentrĂ©s sur le gĂšne codant le SGLT1 la protĂ©ine qui transporte le glucose dans le sang. Ils ont dĂ©couvert que ce gĂšne avait aussi des mutations chez le chien par opposition au loup. Ils ont alors prĂ©sumĂ© que ce changement signifiait que la protĂ©ine du chien devait ĂȘtre meilleure pour le transport du glucose. Ils ont montrĂ© que la version chien de SGLT1 est diffĂ©rente de celle du loup mais nâont pas prouvĂ© que cette diffĂ©rence est significative. Bien sĂ»r, si vous croyez que les chiens ont Ă©voluĂ© pour mieux gĂ©rer lâamidon que les loups, il sâensuit que cette diffĂ©rence gĂ©nĂ©tique prouve votre propos. Cette Ă©tude de gĂ©nĂ©tique publiĂ©e dans Nature a tentĂ© de prouver que lâADN canin domestique est diffĂ©rent de celui des loups et quâune partie de cette diffĂ©rence indique que les chiens peuvent digĂ©rer et mieux utiliser lâamidon que les loups. Ils montrent des diffĂ©rences gĂ©nĂ©tiques mais ont Ă©chouĂ© Ă prouver de maniĂšre concluante que ces diffĂ©rences signifient que les chiens â se portent bien â avec un rĂ©gime riche en amidon. Les chiens ont-ils Ă©voluĂ© pour manger des cĂ©rĂ©ales ? Cela ne devrait vraiment surprendre personne que les chiens et les loups ne soient pas gĂ©nĂ©tiquement identiques. Je dois admettre que ces recherches suggĂšrent que les chiens sont peut-ĂȘtre plus capables que leurs homologues sauvages de gĂ©rer lâamidon dans leur rĂ©gime alimentaire. Il est trĂšs probable que lâĂ©volution concerne le rĂ©gime alimentaire des chiens domestiques. Mais pour vraiment comprendre les ramifications de cette dĂ©claration, nous devons rĂ©examiner le fonctionnement de lâĂ©volution. Aucun individu nâĂ©volue dâun point de vue gĂ©nĂ©tique. Au lieu de cela, les populations dâanimaux Ă©voluent en raison des modifications des conditions de vie auxquelles elles doivent sâadapter. De rares individus naissent avec une mutation qui leur permet de survivre et de se reproduire mieux que tous les autres, de sorte que ce nouveau gĂšne finit par devenir sur des centaines de milliers dâannĂ©es la nouvelle norme. Je crois quâen matiĂšre dâalimentation canine, nous assistons Ă lâĂ©volution en action. Quelques rares chiens mutants arrivent quelque peu Ă gĂ©rer les rĂ©gimes riches en glucides que nous leur donnons, alors que le reste des animaux domestiques en sont malades. AprĂšs avoir analysĂ© cette Ă©tude, je pense toujours que les rĂ©gimes ancestraux sont les meilleurs pour la majoritĂ© des chiens. Cette Ă©tude dĂ©montre donc quâil y a des diffĂ©rences gĂ©nĂ©tiques entre chiens et loups, mais ça nous le savions dĂ©jĂ . Toutefois, pouvoir mieux digĂ©rer lâamidon quâun loup ne dĂ©finit pas le chien comme un omnivore et ne prouve pas non plus que lâamidon soit bon pour sa santĂ© ni quâil en ait besoin. axelsson2013 nature11837-s1 © 2019 â 2021, Carole Marret. All rights reserved. Post Views 7 459
Le parasite La leishmaniose est une maladie provoquĂ©e par un parasite microscopique injectĂ© dans l'organisme d'un animal ou d'un humain par un petit insecte ailĂ©, le phlĂ©botome. Il existe diffĂ©rentes espĂšces de parasites responsables de la leishmaniose Ă travers le monde. En Europe, il s'agit de Leishmania infantum. Le parasite Leishmania infantum observĂ© au microscope Ă l'intĂ©rieur d'un globule blanc Photo Centers for Disease Control and Prevention. Leishmania infantum, parasite Ă l'origine de la leishmaniose en Europe pĂ©nĂštre l'organisme de l'hĂŽte Ă l'occasion de la piqĂ»re d'un petit insecte, le phlĂ©botome. Les leishmanies ainsi transmises se multiplient dans l'organisme et peuvent se retrouver dans tous les organes de l'animal parasitĂ© peau, ganglions lymphatiques, rate, foie, moelle osseuse, etc. Le chien est la principale espĂšce parasitĂ©e par Leishmania infantum, mais ce parasite est Ă©galement retrouvĂ© chez de nombreuses espĂšces de mammifĂšres, comme le chat, le renard, le loup⊠Il peut Ă©galement ĂȘtre parasite de l'Homme, avec de graves consĂ©quences Les risques pour l'Homme. Cycle de vie et rĂ©partition gĂ©ographique La contamination se fait dans lâimmense majoritĂ© des cas* lors de la piqĂ»re d'un petit insecte piqueur, le phlĂ©botome. Lorsque le phlĂ©botome pique son hĂŽte pour se nourrir de son sang, il lui injecte, s'il en est porteur, les leishmanies. Les phlĂ©botomes deviennent porteurs de leishmanies en se nourrissant sur un animal malade. A priori seul le chien, et peut-ĂȘtre les canidĂ©s sauvages comme le renard et le loup, et Ă©ventuellement le chat, peuvent contaminer les phlĂ©botomes. Ce nâest pas le cas de lâHomme. * Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© qu'une chienne pouvait transmettre la leishmaniose Ă ses petits pendant la gestation. La transmission par morsure pourrait Ă©galement ĂȘtre possible, en restant probablement exceptionnelle. SchĂ©ma du cycle de vie du parasite responsable de la leishmaniose c. Lebis, ESCCAP. Le phlĂ©botome est un petit insecte ailĂ© dont la femelle pique les mammifĂšres pour se nourrir photo Luis FernĂĄndez GarcĂa. La rĂ©partition gĂ©ographique de la leishmaniose est dĂ©pendante de la prĂ©sence de phlĂ©botomes dans l'environnement. Les phlĂ©botomes, qui aiment la chaleur, sont largement rĂ©pandus en rĂ©gion mĂ©diterranĂ©enne, en Afrique et au Moyen-Orient. PrĂ©sents dans tout le sud de la France, ils peuvent ĂȘtre parfois retrouvĂ©s au nord, et localement dans le sud de lâAllemagne ou le sud de la Suisse. De nos jours, deux facteurs ont tendance Ă augmenter les risques d'attraper une leishmaniose en dehors des zones habituelles le rĂ©chauffement climatique qui permet l'extension des zones de vie des phlĂ©botomes vers le nord ; les moyens de transport train, avion, voiture qui permettent la migration des phlĂ©botomes sur de longues distances, en leur donnant l'occasion de s'implanter dans de nouveaux biotopes. Heureusement, les phlĂ©botomes ont besoin de conditions de vie assez prĂ©cises humiditĂ©, tempĂ©rature minimale de 18 Ă 22 °C, vent faible, et semble-t-il prĂ©sence de crottes de lapins ou de rongeurs pour le dĂ©veloppement de leurs larves. Ils sont actifs le soir, et passent la journĂ©e Ă l'abri dans des endroits sombres et humides fissures, trous, caves, bĂątiments d'Ă©levageâŠ. Ces besoins spĂ©cifiques expliquent pourquoi au sein d'une mĂȘme rĂ©gion, la rĂ©partition des phlĂ©botomes est inĂ©gale. La leishmaniose chez le chien La maladie Le dĂ©veloppement de la leishmaniose chez les chiens contaminĂ©s est trĂšs variable suivant les individus certains chiens vont Ă©liminer naturellement le parasite ; d'autres vont ĂȘtre porteurs sans exprimer aucun signe de maladie ; d'autres enfin vont exprimer la maladie Ă des degrĂ©s divers. Quand ils apparaissent, les signes de leishmaniose peuvent survenir de 2 mois Ă 8 ans aprĂšs la piqĂ»re du phlĂ©botome. La maladie se traduit par des lĂ©sions de peau, parfois discrĂštes, parfois spectaculaires, accompagnĂ©es ou non d'atteintes des organes internes. Certains chiens ne souffriront donc que de quelques croĂ»tes, d'autres d'ulcĂ©rations importantes et d'autres d'atteintes graves de l'organisme, avec amaigrissement, anĂ©mie, troubles oculaires, insuffisance rĂ©nale⊠La maladie Ă©volue sur plusieurs mois ou plusieurs annĂ©es, parfois par crises, jusqu'au dĂ©cĂšs de l'animal. Le premier signe observĂ©, avant mĂȘme la dissĂ©mination des leishmanies dans lâorganisme, est en gĂ©nĂ©ral une lĂ©sion cutanĂ©e transitoire due Ă la piqĂ»re du phlĂ©botome infectant. Les sites habituels de piqĂ»re des phlĂ©botomes sont la face externe du pavillon de lâoreille et le chanfrein. Ces lĂ©sions locales passent souvent inaperçues ou sont confondus avec des simples lĂ©sions de piqĂ»re de tiques ou dâinsectes. Il sâagit dâune lĂ©sion unique ou multiple, ulcĂ©rative, appelĂ©e chancre dâinoculation » se prĂ©sentant sous l'aspect d'un ulcĂšre Ă bord Ă©rythĂ©mateux. Les lĂ©sions d'inoculation peuvent persister plusieurs mois et disparaissent spontanĂ©ment. Durant cette pĂ©riode, les chiens demeurent sĂ©ronĂ©gatifs. UltĂ©rieurement, prĂšs de 25% des chiens deviennent sĂ©ropositifs, et la maladie devient patente et se gĂ©nĂ©ralise. LĂ©sions cutanĂ©es Ă©tendues de leishmaniose canine, avec perte de poils, pellicules, ulcĂ©rations, croĂ»tes photo Jacques Lamothe. LĂ©sions cutanĂ©es sur l'ensemble du corps avec apparition de grandes pellicules grises et atteinte de l'Ă©tat gĂ©nĂ©ral. L'amaigrissement est marquĂ© photo Parasitologie, EnvA. Traitement Il n'existe malheureusement pas de traitement dĂ©finitif de la leishmaniose chez le chien. Il est possible d'amĂ©liorer trĂšs notablement l'Ă©tat des malades, mais, mĂȘme si tous les signes de la maladie disparaissent, le chien reste porteur du parasite. C'est pourquoi un chien leishmanien doit ĂȘtre suivi par un vĂ©tĂ©rinaire toute sa vie. Au cours de ce suivi, des prises de sang effectuĂ©es rĂ©guliĂšrement permettront de surveiller le bon fonctionnement des organes internes particuliĂšrement les reins et la diminution de la quantitĂ© de parasites dans l'organisme corrĂ©lĂ©e Ă l'abaissement du taux d'anticorps dans le sang. Le traitement sera alors adaptĂ© au cas par cas en fonction de l'Ă©volution. Il peut parfois ĂȘtre suspendu pendant plusieurs mois. ProtĂ©ger son chien Les possesseurs de chiens habitant dans les rĂ©gions Ă risque ou se rendant dans ces rĂ©gions avec leur animal au cours d'un dĂ©placement vacances, chasse ont tout intĂ©rĂȘt Ă essayer de le protĂ©ger contre cette maladie. La prĂ©vention repose sur deux axes Ă©viter les piqĂ»res des phlĂ©botomes, vecteurs de la leishmaniose, et faire vacciner. Limiter les contacts avec les phlĂ©botomes Plusieurs moyens peuvent ĂȘtre mis en Ćuvre afin de limiter les risques de piqĂ»re des animaux par les phlĂ©botomes Appliquer rĂ©guliĂšrement des produits rĂ©pulsifs et/ou insecticides sur les chiens. Ils existent sous diffĂ©rentes formes spray, pipettes, colliers. Ils sont Ă utiliser pendant toute la saison d'activitĂ© des phlĂ©botomes, c'est-Ă -dire dĂšs le mois d'avril et jusqu'Ă fin novembre. Quel produit utiliser ? Il faut en discuter avec votre vĂ©tĂ©rinaire, qui vous prescrira la molĂ©cule et la forme la plus adaptĂ©e Ă votre animal, en fonction de son Ăąge, de son mode de vie et du risque d'exposition. Ne pas promener les animaux dans les endroits oĂč l'environnement est favorable Ă la prĂ©sence de phlĂ©botomes prĂ©sence de murs de pierre sĂšche, endroits humides et abritĂ©s. Ne pas sortir les animaux aux pĂ©riodes d'activitĂ© des phlĂ©botomes, c'est-Ă -dire du soir jusqu'au petit matin. Limiter la pĂ©nĂ©tration des phlĂ©botomes Ă l'intĂ©rieur des habitations, en fermant les fenĂȘtres la nuit ou en les dotant de moustiquaires mailles trĂšs fines de 0,3-0,4 mmÂČ, ou encore en plaçant un ventilateur dans les piĂšces de couchage. La vaccination Un vaccin est disponible en France. Son protocole d'utilisation nĂ©cessite de tester l'animal avant la premiĂšre injection afin de s'assurer qu'il n'est pas dĂ©jĂ porteur du parasite. S'il est nĂ©gatif, il reçoit trois injections Ă deux semaines d'intervalle puis une injection de rappel une fois par an. Attention, la vaccination rĂ©duit les risques de dĂ©velopper la leishmaniose, mais n'assure pas une protection Ă 100%. Il est nĂ©cessaire de prendre les mĂȘmes prĂ©cautions insecticides, pas de promenades la nuit⊠chez les animaux vaccinĂ©s que chez les non-vaccinĂ©s. Dois-je faire vacciner mon chien contre la leishmaniose ? Il n'y a pas de rĂ©ponse unique Ă cette question. De nombreux facteurs entrent en ligne de compte, dont bien sĂ»r le risque rĂ©el d'exposition Ă la maladie. Cette question doit ĂȘtre dĂ©battue avec votre vĂ©tĂ©rinaire, et la dĂ©cision prise au cas par cas. La leishmaniose chez le chat JugĂ©e par le passĂ© comme une maladie rare chez le chat, la leishmaniose fĂ©line pourrait ĂȘtre en fait assez frĂ©quente dans les dĂ©partements oĂč la maladie est trĂšs prĂ©sente. Il semble que les formes cutanĂ©es nodules, ulcĂ©rations, croĂ»tes au niveau du nez, des oreilles, des paupiĂšres⊠prĂ©dominent, mais le parasite peut Ă©galement ĂȘtre Ă l'origine d'atteintes des organes internes. Certains spĂ©cialistes considĂšrent que la leishmaniose fĂ©line est une maladie Ă©mergente en France, et qu'il faut y penser lorsqu'un chat vivant ou ayant voyagĂ© en rĂ©gion Ă risque prĂ©sente des problĂšmes de peau compatibles avec cette maladie. Les risques pour l'Homme Leishmania infantum, le parasite responsable de la leishmaniose chez le chien, est transmissible Ă l'Homme la leishmaniose fait donc partie des maladies appelĂ©es zoonoses ». La transmission se fait par l'intermĂ©diaire d'un phlĂ©botome, insecte piqueur, qui s'est prĂ©alablement contaminĂ© en se nourrissant sur un chien malade. Leishmania infantum est responsable chez l'Homme de la leishmaniose viscĂ©rale, provoquant fiĂšvre, faiblesse, anĂ©mie, perte de poids, atteinte du foie et de la rate. L'issue de la maladie peut ĂȘtre mortelle. Il existe heureusement des traitements efficaces contre cette maladie chez l'Homme, et la plupart des patients traitĂ©s guĂ©rissent dĂ©finitivement. La leishmaniose viscĂ©rale touche essentiellement les enfants et les personnes immunodĂ©primĂ©s VIH, traitements anticancĂ©reux. En France, quelques dizaines de cas sont rapportĂ©s chaque annĂ©e. Le chien est une source de leishmanies pour l'Homme, par l'intermĂ©diaire du phlĂ©botome. Un chien atteint de leishmaniose Ă©voluant dans un milieu oĂč les phlĂ©botomes sont prĂ©sents reprĂ©sente donc un rĂ©el danger pour les humains. Dans ce cas, pour protĂ©ger les enfants ou les personnes fragilisĂ©es vivant Ă proximitĂ©, il peut ĂȘtre prĂ©fĂ©rable de ne pas traiter l'animal âlequel restera porteur du parasite toute sa vie â et d'envisager son euthanasie.
Les chiens expliquĂ©s par leur biologie et leur histoireLe chien Canis lupus familiaris est un mammifĂšre quadrupĂšde, sous-espĂšce du loup, et peut-ĂȘtre le plus vieux animal domestiquĂ© par l'ĂȘtre humain. Les thĂ©ories postulent qu'il a Ă©mergĂ© sur le continent asiatique depuis plus de 100 000 ans. Le rĂ©sultat est une grande diversitĂ© de races chien mĂąle Le chien, ici un mĂąle Golden Retriever, est un quadrupĂšde. Les caractĂ©ristiques morphologiques comportent des oreilles et un nez trĂšs dĂ©veloppĂ©s, ce dernier Ă©tant le principal organe sensoriel du chien. Certaines petites races peuvent atteindre une longĂ©vitĂ© d'environ 20 ans, avec une attention particuliĂšre de la part du propriĂ©taire, sinon leur vie en moyenne est d'environ 13â14 chien domestique Canis lupus familiaris est un mammifĂšre omnivore de la famille des CanidĂ©s, qui constitue une sous-espĂšce du loup Canis lupus. Cet animal domestique, aux formes et pelages trĂšs divers selon la race, est l'un des animaux de compagnie prĂ©fĂ©rĂ©s dans le monde, avec les femelle est appelĂ©e une chienne et le petit un des chiens Au cours des siĂšcles, Ă travers la domestication, l'ĂȘtre humain a rĂ©alisĂ© une sĂ©lection artificielle des chiens par leurs aptitudes, leurs caractĂ©ristiques physiques ou leurs types de comportements. Les races créées offrent un diversitĂ© dans le pelage et la taille au sein de leurs propres preuves archĂ©ologiques montrent que le chien a Ă©tĂ© en Ă©troite cohabitation avec les humains pendant au moins 9000 ans, mais peut-ĂȘtre pendant 14 000 ans. Les preuves fossiles montrent que les ancĂȘtres des chiens modernes Ă©taient dĂ©jĂ associĂ©s aux humains il y a 100 000 ans. Les recherches les plus rĂ©centes indiquent que le chien a Ă©tĂ© domestiquĂ© pour la premiĂšre fois en Asie de l'Est, peut-ĂȘtre en Chine; cependant, on ne sait pas si tous les chiens domestiques proviennent du mĂȘme groupe ou si le processus de domestication a Ă©tĂ© rĂ©pĂ©tĂ© plusieurs fois. Une Ă©tude publiĂ©e par la revue Nature rĂ©vĂšle que, grĂące au processus de domestication, l'organisme du chien s'est adaptĂ© Ă un certain type de nourriture, en l'occurrence l' mot chien et ses usages Le terme chien, au grand nombre de synonymes et expressions, est associĂ© Ă de nombreuses espĂšces animales comme le poisson-chien, le et rĂŽle Il y a environ 800 races de chiens, plus que tout autre animal, qui varient considĂ©rablement en taille, apparence et tempĂ©rament, prĂ©sentant une grande variĂ©tĂ© de couleurs et de types de poils selon la race. Ils entretiennent d'excellentes relations avec les humains, pour qui ils sont des animaux de compagnie, des animaux de garde, des chiens de travail, des chiens de chasse, des chiens d'eau, des lĂ©vriers de course, des chiens-guides, des chiens de berger ou des chiens familiers animal familier, de famille.DiffĂ©rences chien et loup Par rapport aux loups de taille Ă©quivalente, les chiens tendent Ă avoir un crĂąne 20 % plus petit et un cerveau 10 % plus petit, en plus d'avoir des dents relativement plus petites que d'autres espĂšces de canidĂ©s. Le crĂąne et les dents du chien domestique ont diminuĂ© par rapport au loup en n'ayant pas besoin de tuer de grandes chiens ont besoin de moins de calories pour vivre que les loups. Leur rĂ©gime de restes de repas humains a rendu leurs grands cerveaux et muscles de la mĂąchoire utilisĂ©s dans la chasse n'est plus nĂ©cessaire. Certains experts pensent que les oreilles flasques des chiens sont le rĂ©sultat de l'atrophie des muscles mandibulaires. La peau des chiens domestiques a tendance Ă ĂȘtre plus Ă©paisse que celle des loups et certaines tribus esquimaux prĂ©fĂšrent leur peau pour s'habiller, en raison de leur rĂ©sistance Ă l'usure dans un climat inhospitalier. Contrairement aux loups, mais comme les coyotes, les chiens domestiques ont des glandes sudoripares sur les pattes d'un chien sont Ă peu prĂšs la moitiĂ© de celles d'un loup et sa queue a tendance Ă s'incurver vers le haut, une autre caractĂ©ristique qui n'est pas vue chez les loups. Les chiens peuvent survivre Ă un tremblement de terre, parce qu'ils entendent un son que les humains ne peuvent pas les loups, les chiens ont un pelage, une couche de poils qui couvre le corps. Le pelage d'un chien peut ĂȘtre un "double manteau", composĂ© d'une couche infĂ©rieure molle et d'une couche supĂ©rieure grossiĂšre. Contrairement aux loups, les chiens peuvent avoir une "couche unique", sans couche infĂ©rieure. Les chiens Ă double fourrure, comme les loups, sont adaptĂ©s pour survivre Ă des tempĂ©ratures froides et ont tendance Ă provenir de climats plus morphologiques Les chiens prĂ©sentent gĂ©nĂ©ralement des traces de "contre-illumination", un motif de camouflage naturel commun connu sous la loi de Thayer. La base gĂ©nĂ©rale du contre-ombrage est qu'un animal illuminĂ© par le haut apparaĂźt plus clair dans la moitiĂ© supĂ©rieure et plus foncĂ© dans la moitiĂ© infĂ©rieure, oĂč il a normalement sa propre couleur. C'est un modĂšle que les prĂ©dateurs peuvent apprendre Ă reconnaĂźtre. Un animal contre-illuminĂ© a une coloration sombre dans la surface supĂ©rieure et une coloration claire dans l'infĂ©rieur. Cela rĂ©duit la visibilitĂ© gĂ©nĂ©rale de l'animal. Un vestige de ce modĂšle est que de nombreuses races ont un cĂŽtĂ©, une bande ou une Ă©toile de fourrure blanche sur la poitrine ou sur le locomoteur Comme la plupart des mammifĂšres prĂ©dateurs, le chien a des muscles puissants, un systĂšme cardiovasculaire qui permet une grande vitesse et une grande rĂ©sistance et des dents pour chasser, tenir et dĂ©chirer la squelette ancestral des chiens leur permet de courir et de sauter. Leurs pattes ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©es pour les propulser rapidement en avant, en sautant si nĂ©cessaire, afin de chasser et d'attraper des proies. Par consĂ©quent, ils ont de petits pieds serrĂ©s et marchent sur les doigts digitigrade. Leurs pattes postĂ©rieures sont assez rigides et solides, tandis que les pattes antĂ©rieures sont lĂąches et flexibles, n'Ă©tant attachĂ©es au tronc que par les que l'Ă©levage sĂ©lectif ait modifiĂ© l'apparence de nombreuses races, tous les chiens conservent les Ă©lĂ©ments de base de leurs ancĂȘtres. Les chiens ont des omoplates dĂ©connectĂ©es elles n'ont pas de clavicule qui permettent des foulĂ©es plus longues. La plupart des races conservent les griffes vestigiales sur les pattes antĂ©rieures et parfois sur les pattes postĂ©rieures. Certaines de ces races, comme le Berger de Beauce Beauceron, peuvent prĂ©senter un double Ă©peron sur une ou plusieurs pattes. Dans certains cas, ces griffes sont enlevĂ©es pour empĂȘcher l'animal de les arracher accidentellement pendant la chasse d'une proie, mais cette pratique est illĂ©gale dans certains sens Les sens de l'odorat et de l'ouĂŻe du chien sont supĂ©rieurs Ă ceux de l'humain dans de nombreux aspects. Certaines de leurs capacitĂ©s sensorielles ont Ă©tĂ© utilisĂ©es par les humains, telles que l'odorat chez les chiens de chasse, les chiens Ă la recherche d'explosifs ou les chiens Ă la recherche de alors que le cerveau humain est dominĂ© par un large cortex visuel, le cerveau canin est principalement dominĂ© par un cortex olfactif. Le bulbe olfactif des chiens, proportionnellement Ă la taille totale du cerveau, est environ quarante fois plus grand que celui des chien sent avec sa truffe Le chien perçoit les odeurs grĂące Ă sa truffe, son nez, et a un sens de l'odorat extrĂȘmement dĂ©veloppĂ© lui permettant de pister, de fleirer, des odeurs imperceptibles pour l' la race, les chiens ont entre 125 et 220 millions de cellules olfactives rĂ©parties sur une superficie de la taille d'un mouchoir de poche, comparativement Ă cinq millions de cellules rĂ©parties sur la surface d'un phoque chez l'homme. Le chien de Saint-Hubert ou Bloodhound est l'exception, avec environ 300 millions de rĂ©cepteurs olfactifs. Les chiens peuvent distinguer les odeurs Ă des concentrations prĂšs de 100 millions de fois infĂ©rieures Ă ce que les humains peuvent parmi les sens canins, le goĂ»t est celui qui a Ă©tĂ© le moins Ă©tudiĂ© et souvent liĂ© Ă l'odorat. Les chiens peuvent distinguer les saveurs de base de la mĂȘme maniĂšre que les humains, bien qu'ils distinguent Ă peine le sel. Cependant, les goĂ»ts prĂ©fĂ©rĂ©s peuvent diffĂ©rer beaucoup d'un chien Ă l'autre, car il semble qu'ils ne choisissent pas la nourriture selon le type de goĂ»t, mais selon son intensitĂ© saveur forte ou goĂ»t doux. Les premiers mois de la vie d'un chiot sont trĂšs importants en ce sens, car ils goĂ»tent souvent beaucoup de saveurs diffĂ©rentes quand ils sont jeunes, ils vont aussi dĂ©velopper un goĂ»t pour la variĂ©tĂ© lorsqu'ils sont adultes. Comme les humains et beaucoup d'autres animaux, les chiens ont la capacitĂ© d'associer certains goĂ»ts avec des problĂšmes de santĂ©. Si un aliment les rend malades ou leur donne l'air mauvais, ils auront tendance Ă Ă©viter le goĂ»t de cette nourriture Ă l'avenir. Cela fait partie d'un mĂ©canisme de dĂ©fense instinctif, qui protĂšge les animaux contre l'empoisonnement par l'ingestion frĂ©quente de substances le domaine de l'audibilitĂ© des chiens est d'environ 40 Hz Ă 60 000 Hz. Ils dĂ©tectent des sons aussi sĂ©vĂšres que 16â20 Hz comparĂ©s Ă 20â70 Hz chez les humains et aussi au-dessus de 45 kHz, dans les ultrasons comparĂ©s Ă 13â20 kHz chez l'homme et ont Ă©galement un degrĂ© de mobilitĂ© des oreilles qui leur permet de dĂ©terminer rapidement l'origine exacte d'un son. Dix-huit muscles ou plus peuvent incliner, faire pivoter, Ă©lever ou abaisser les oreilles d'un chien. De plus, ils peuvent localiser la source d'un son beaucoup plus rapidement qu'un humain et dĂ©tecter des sons Ă une distance jusqu'Ă quatre fois supĂ©rieure Ă celle des humains. Les chiens avec une forme d'oreille plus naturelle, comme les oreilles de canidĂ© sauvage comme le renard, entendent souvent mieux que les chiens avec les oreilles les plus flexibles typiques de nombreuses races la vision du chien semble adaptĂ©e Ă la chasse elle n'a pas une grande acuitĂ© visuelle des dĂ©tails, mais elle a une excellente perception des mouvements. Il a une excellente vision nocturne ou crĂ©pusculaire, grĂące Ă l'utilisation du tapetum lucidum, un Ă©cran rĂ©flĂ©chissant Ă l'intĂ©rieur de l'oeil. Le champ visuel du chien est entre 240â250 degrĂ©s, beaucoup plus grand que l'humain qui est approximativement de 180 ont une forme de vision dichromatique appelĂ©e deutĂ©ranopie, qui chez les humains est considĂ©rĂ©e comme une forme de daltonisme qui affecte le rouge et le vert. Les chiens perçoivent des nuances de jaune et de bleu, mais quand ils perçoivent le jaune et le vert, ils le voient gris. Leur systĂšme visuel a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ© pour les aider dans la chasse et la prĂ©dation. Bien qu'il soit difficile Ă mesurer, l'acuitĂ© visuelle des caniches a Ă©tĂ© estimĂ©e comme Ă©quivalente Ă un score dans le test de Snellen de 20/75. Cependant, la discrimination visuelle est beaucoup plus Ă©levĂ©e quand il s'agit de dĂ©placer des objets. Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que les chiens sont capables de distinguer leur propriĂ©taire des autres personnes Ă des distances de plus d'un km voire 2. Comme les chasseurs crĂ©pusculaires dĂ©pendent de leur vision dans des conditions de faible luminositĂ©, pour les aider Ă voir dans l'obscuritĂ©, ils ont de trĂšs grandes pupilles, une plus grande densitĂ© de bĂątonnets dans l'optique de la fovĂ©a, une plus grande vitesse de clignement des yeux et un tapetum rĂ©fringent. Le tapetum est une surface rĂ©fractive situĂ©e derriĂšre la rĂ©tine qui rĂ©flĂ©chit la lumiĂšre pour donner aux photorĂ©cepteurs une seconde chance de capturer des photons. Bien que ces adaptations servent Ă amĂ©liorer la vision dans l'obscuritĂ©, elles rĂ©duisent Ă©galement l'acuitĂ© visuelle des la plupart des mammifĂšres, les chiens sont des dichromates et ont une vision des couleurs Ă©quivalente Ă l'aveuglement rouge-vert chez les humains. Les diffĂ©rentes races de chien ont diffĂ©rentes formes et tailles d'oeil et ont Ă©galement une configuration diffĂ©rente de la rĂ©tine. Les chiens avec de longs museaux ont une "ligne visuelle" qui s'Ă©tend sur la largeur de la rĂ©tine et leur donne un trĂšs large champ d'une excellente vision, tandis que les chiens Ă museau court ont une zone centrale, une rĂ©gion centrale avec jusqu'Ă trois fois de densitĂ© des terminaisons nerveuses de la "ligne visuelle", ce qui fournit une vue dĂ©taillĂ©e, beaucoup plus semblable Ă celle des races, en particulier les lĂ©vriers, ont un champ visuel allant jusqu'Ă 270 °, bien que les races Ă tĂȘte large et Ă museau court aient un champ de vision beaucoup plus Ă©troit, aussi bas que 180 °, semblable Ă celui de l'homme. Certaines races ont Ă©galement une tendance gĂ©nĂ©tique Ă la myopie. Bien que la plupart des races soient emmĂ©tropes, on a constatĂ© qu'un Rottweiler sur deux est les chiens utilisent le sens du toucher pour communiquer entre eux et avec d'autres espĂšces. Si c'est fait correctement, toucher un chien peut servir Ă le stimuler ou Ă le dĂ©tendre. C'est le premier sens qui se dĂ©veloppe chez les chiots nouveau-nĂ©s et les chiennes commencent Ă lĂ©cher et Ă caresser leurs petits peu aprĂšs la naissance. Certaines Ă©tudes ont mĂȘme suggĂ©rĂ© que les chiens peuvent dĂ©tecter des mouvements dans l'abdomen de la mĂšre avant mĂȘme qu'ils ne soient nĂ©s et que les chiennes qui se font dorloter pendant la grossesse donnent naissance Ă une progĂ©niture plus docile. Les chiens ont des capteurs tactiles dans tout le corps, mais les paliers, la colonne vertĂ©brale et la rĂ©gion de la queue sont parmi les zones les plus vibrisses des chiens ont des mĂ©canorĂ©cepteurs qui les aident Ă acquĂ©rir des informations tactiles sur leur environnement, mais cette fonction n'est pas aussi importante que chez les chats. Entre autres choses, ils servent Ă sentir le flux d'air. En plus du museau, oĂč ils sont appelĂ©s "moustaches", les chiens ont des vibrisses au-dessus des yeux et sous la intelligent Les chiens sont apprĂ©ciĂ©s pour leur intelligence. L'intelligence canine se rapporte Ă la capacitĂ© d'un chien Ă traiter l'information qu'il reçoit par ses sens pour apprendre, adapter et rĂ©soudre des problĂšmes. L'Ă©thologie cognitive est la discipline responsable de l'Ă©tude de ce domaine dans la cognition Ă©tudes de l'anthropologie Ă©volutionniste se concentrent Ă©galement sur l'identification des capacitĂ©s cognitives spĂ©ciales que le chien possĂšde, et qu'il a dĂ©veloppĂ©es en raison de son contact Ă©troit avec l'ĂȘtre humain; tout comme la capacitĂ© de reconnaĂźtre un vocabulaire Ă©tendu. Dans un exercice pour observer leur niveau de comprĂ©hension passive du vocabulaire humain, un humain assis derriĂšre une barriĂšre transparente tenant un jouet a Ă©tĂ© invitĂ©, et d'une voix monotone, Ă donner au chien l'ordre "apporter". Le chien est allĂ© Ă un cercle oĂč diffĂ©rents objets ont Ă©tĂ© dispersĂ©s, d'un jouet exactement comme celui que l'humain a demandĂ©, Ă d'autres sortes de choses avec des textures et des odeurs diffĂ©rentes, l'animal a observĂ© le cercle d'objets pour un moment pour le jouet exact qui avait Ă©tĂ© demandĂ© et ensuite le prĂ©senter Ă l'humain. Il a Ă©galement Ă©tĂ© invitĂ© Ă apporter certains objets en utilisant seulement la photographie ou la rĂ©plique miniature de l'objet. L'Ă©tude a Ă©tĂ© complĂ©tĂ©e par deux conditions de contrĂŽle supplĂ©mentaires pour empĂȘcher l'animal d'agir selon des prĂ©fĂ©rences préétablies. La race utilisĂ©e, un Border Collie, Ă©tait capable de reconnaĂźtre jusqu'Ă 200 mots de vocabulaire capacitĂ© Ă apprendre rapidement a Ă©tĂ© utilisĂ©e comme l'un des paramĂštres pour mesurer l'intelligence parmi les races de chiens, d'autres tests ont Ă voir avec le dĂ©sir et la capacitĂ© de rĂ©pondre Ă diverses situations. Les chiens-guides, par exemple, doivent apprendre un grand nombre de commandes, comprendre comment se comporter dans une grande variĂ©tĂ© de situations et reconnaĂźtre les risques ou les dangers pour leur compagnon humain, devant certains d'entre eux qu'ils n'ont jamais rencontrĂ©s auparavant, sous le comportement connu sous le nom de dĂ©sobĂ©issance intelligente qui signifie que l'animal d'assistance ira Ă l'encontre du dĂ©sir de son propriĂ©taire d'Ă©viter une mauvaise races ont Ă©tĂ© continuellement sĂ©lectionnĂ©es sur des centaines ou des milliers d'annĂ©es pour leur capacitĂ© Ă apprendre rapidement, tandis que dans d'autres races, cette qualitĂ© a Ă©tĂ© relĂ©guĂ©e au profit d'autres caractĂ©ristiques, telles que la capacitĂ© de courir, chasser, chasser ou se battre avec d'autres animaux. Cependant, la capacitĂ© d'apprendre l'obĂ©issance de base et Ă©ventuellement des comportements complexes est inhĂ©rente Ă tous les chiens. MĂȘme le chien le plus timide ou distrait rĂ©agit plus facilement Ă l'entraĂźnement que, disons, un chat. Les propriĂ©taires devraient simplement ĂȘtre plus patients avec certaines races qu'avec d' les chiens, le terme socialisation est utilisĂ© pour caractĂ©riser le processus par lequel l'animal se rapporte Ă son environnement, connaĂźt ses rĂšgles, comprend la structure sociale et perçoit les limites. Les jeunes chiens apprennent souvent rapidement comment se comporter avec les autres membres du groupe, qu'ils soient des chiens ou des humains. Les chiens adultes modĂ©lisent leurs chiots par des corrections - auditives ou physiques - quand ils ne se comportent pas comme prĂ©vu, et avec des rĂ©compenses s'ils ont des comportements acceptables, sauter avec eux, les nourrir, les nettoyer, entre L'Ă©norme variĂ©tĂ© de morphologies dans les diffĂ©rentes races de chiens rend difficile la dĂ©termination de la taille et du poids moyens des chiens. D'une taille comprise entre 71 et 90 cm, le lĂ©vrier irlandais Irish Wolfhound est la race la plus haute du chien, bien que certains grands Danois dĂ©passent cette taille, atteignant jusqu'Ă 107 cm. La plus petite race de chien est le Chihuahua, avec une taille de 15â30 cm au un poids moyen compris entre 1,5 et 3 kilogrammes, et dans certains cas, il ne peut dĂ©passer 500 grammes, les chihuahuas sont aussi les chiens les plus lĂ©gers, quand le Dogue anglais et le Saint-Bernard sont des chiens plus lourds, avec un poids pouvant atteindre plus de 75 ou 80 et espĂ©rance de vie La longĂ©vitĂ© des chiens varie d'une race Ă l'autre, mais en gĂ©nĂ©ral, les races plus petites vivent plus longtemps que les races plus grandes. Les petits chiens vivent souvent jusqu'Ă l'Ăąge de quinze ou seize ans, tandis que les gros chiens peuvent avoir une espĂ©rance de vie de seulement la moitiĂ© 7â8 ans. Au milieu sont toutes les races chien le plus ĂągĂ© du monde, un bouvier australien Australian Cattle Dog, est mort en 1939 Ă l'Ăąge de vingt-neuf ans. La stĂ©rilisation de l'animal peut prolonger ou raccourcir sa vie, rĂ©duisant le risque de contracter des maladies telles que la pyomĂ©trie chez la femelle ou le cancer du testicule chez le mĂąle. Elle rĂ©duit Ă©galement le risque d'accidents et de blessures, car les chiens non stĂ©rilisĂ©s se battent et s'enfuient davantage. En revanche, la castration du mĂąle favorise l'apparition du cancer de la prostate, une maladie qui peut rĂ©duire drastiquement la vie de l' chiot Le terme chiot est gĂ©nĂ©riquement indiquĂ© pour dĂ©finir certains animaux Ă leur statut post-natal immature, l'Ă©quivalent de l'enfant chez l'ĂȘtre humain. Il est gĂ©nĂ©ralement et populairement admis comme Ă©tant le jeune chien chiot, une jeune chien Les chiots prĂ©sentent des caractĂ©ristiques physiques typiques visant Ă provoquer la tendresse chez l'adulte et chez l'Homme Ă prendre soin d'eux et Ă les empĂȘcher d'ĂȘtre chien et chat Un chien chiot et un chat chaton qui jouent Le chien avec le chat sont les animaux domestiques les plus populaires dans le monde. La cohabitation chien-chat se passe aux mieux lorsque les animaux sont mis en prĂ©sence l'un de l'autre quand ils sont jeunes, chiot et terme Le mot chien est un substantif de genre traduction de chien en anglais est dog. Lexique A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Synonymes Il y a 11 synonymes de chien cabot canidĂ© cerbĂšre chienne chiot clĂ©bard clebs corniaud molosse roquet toutou Aucun antonyme la dĂ©finition CHIEN, situĂ©e dans la 3Ăšme page des mots en C du le mĂȘme sujet Umbra krameriLe poisson-chien Umbra krameri doit son nom vernaculaire français Ă un ancien taxon Umbra canina. Originaire de l'Europe de l'Est, et...Triakis scylliumLe requin chien Ă bandes Triakis scyllium est originaire du Nord-Ouest de l'ocĂ©an Pacifique, depuis le sud de la SibĂ©rie Russie jusqu'Ă ...DĂ©finition CHIEN publiĂ©e le 05/12/2017 mise Ă jour le 28/12/2019.